Garin - Village de Montagne

Sur la route qui monte au Col de Peyresourde, Garin, orthographié Garen sur la carte de Cassini, est un village d'une des hautes vallées des Pyrénées, le Larboust. Il surplombe ceux d'Oô, de Cazeaux et de Castillon. Le village profite de sa proximité de Luchon, de son nom complet Bagnères de Luchon, le chef de lieu, avec sa station de ski "Superbagnère", ses thermes, ses services et commerces. qui n'est que 8 kilomètres plus bas.  Situé sur des amas glaciaires, le village n'et ps haut fonde la vallée, ce aui lui permet de profiter du soleil toute l'année.


1. Un village baigné de soleil

La commune a la forme d'un L couché, dont l'axe verticale irait,au Nord, de la Coume de Herrère, petit sommet de la montagne d'Espiau, vers le Sud au pas de Peyre, et dont l'autre axe irait d'Est en Ouest , de ce pas de Peyre  au col de Peyresourde, col qui sépare les départements de la Haute Garonne et des Hautes Pyrénées.
Garin est donc une commune de montagne, avec une altitude qui varie entre 1 023 mètres à 2 003 mètres, la plupart des zone habitée étant située entre 1050  et 1 500 mètres d'altitude. Garin compte un plus de 130 habitants répartis sur trois hameaux dont le principal est le bourg. Autour de son église, le bourg est construit sur le base de la Soulane, et profite ainsi d'un ensoleillent généreux toute l'année.Séparé par le ruisseau de Portet, le second hameau est celui Saint Tritous, connu grâce à la Chapelle Saint Pé.Au-delà de la Moraine, grande pelouse idéale pour jouer au foot ou rugby, se trouve le dernier petit hameau sur la route de Gouaux, quelques maisons le long de la route qui mène aux Agudes,

2. Histoire

Garin, orthographié Garen sur la carte de Cassini, existe de


Les collections protohistoriques du début de l’âge des métaux, chalcolithique et âge du Bronze, s’échelonnent entre 3200 et 800 avant notre ère. Elles comprennent de la céramique provenant de sites régionaux variés et en particulier de nécropoles, comme celle de Garin (Haute-Garonne)

 : Un autel gallo-romain du IVe siècle, à Garin en Haute-Garonne porte une croix à douze extrémités

Les enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun

• Le Haut-Comminges était partagé entre le Comté du Comminges, la Vicomté du Nébouzan, la Jugerie de Rivière-Verdun, la Vicomté des 4 Vallées, et 1 des 4 enclaves du diocèse civil du Petit-Comminges dépendant du LanguedocL'enclave de Génos avec

• Estarvielle (absorbe Garin en 1794), Garin (absorbe Saint-Tritous en 1793, absorbé par Estarvielle en 1794), 

Le versant nord-est du Cap de la Pène de Soulit est ici concerné. Ce versant situé au sud du col de Peyresourde a notamment été affecté par l’avalanche n°1.